...pour oublier, profiter et danser

Orpheline de feux d’artifice depuis vingt mois, la Principauté de Monaco a renoué, ce samedi à 22 h pétantes, avec les spectacles pyromusicaux. Les artificiers de ce show de 17 minutes nous expliquent les coulisses.

Vingt mois que le ciel monégasque ne s’était pas embrasé de mille feux. Le dernier feu d’artifice tiré en Principauté remontait à novembre 2019, un soir de fête nationale. Une éternité.

Un vide pyromusical (enfin) comblé ce samedi, à 22 h pétantes, lorsque les premiers feux de Bengale rouges, suivis de trois cocotiers verts projetés à cent mètres de hauteur, ont illuminé le port Hercule.

Et comme un pied de nez à ce satané virus qui pollue nos vies depuis bien (trop) longtemps, une version lente de What a wonderful world a été choisie pour amorcer ce show de dix-sept minutes. Avant d’enchaîner sur du Queen, Sting, Metallica, Imagine Dragons ou encore Robbie Williams.

" Pour une reprise d’activités, et de la vie, on a voulu s’écarter de la musique classique, pourtant parfaite pour un spectacle pyromusical, afin de privilégier du rock plus moderne ", sourit Stéphane Lobono, directeur général de Flash Art Monaco et concepteur du spectacle avec Markus Katterle.

Date: 
Mardi, août 3, 2021